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Enregistré le : ven. juin 17, 2011 6:16 pm

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Enregistré le : jeu. oct. 03, 2002 9:21 am

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J'ai rien dit ! :D
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Enregistré le : ven. juin 17, 2011 6:16 pm

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En cadeau, pour me montrer utile ;) voici un extrait d'un ouvrage didactique que j'ai rédigé sur la mise en forme et la conception graphique en général, que j'utilise comme support dans mes formations.

Les logographes

Trois critères assurent le succès d’un logo :

1. La composition doit refléter la nature de l’entreprise.
2. Il doit être tout à la fois compact et distinctif.
3. Il doit être fonctionnel aussi bien en une seule couleur qu’en couleurs multiples et se reproduire sans difficulté sur plusieurs tailles de supports.

Ceci implique qu’il en existe une version entièrement vectorisée et en une seule couleur (utilisation sur un tampon), dont l’exploitation ne franchira pas le seuil limite de 16mm de côté (format encadré de petite annonce presse).

La représentativité et la lisibilité sont les grandes qualités d’un logo. La taille des mots et celle du visuel doit permettre une lecture immédiate en toutes circonstances (format et type du support, conditions de luminosité ambiante). On veillera donc à examiner si le rapport d’une police de 6 pt, ou moins, avec un pictogramme comportant d’étroites zones de contraste (comme des réserves, des traits fins ou des dégradés) garantit toujours la lisiblité du logo.

Par ailleurs, son utilisation sur du papier en-tête ou une grande enveloppe nécessite qu’il sache exister lorsqu’il est mis en présence de grandes étendues de vides. Enfin, si le recours à un vernis selectif, une dorure, un gaufrage ou une découpe est envisagé, chaque élément de la composition doit comporter une suface minimum pour assurer une l’efficacité du type de finition. Pour des raisons de rapidité et de neutralité dans l’observation de son travail, il est préférable de commencer la composition d’un logo en noir et blanc et d’utiliser les niveaux de gris pour suggérer certaines tonalités. Les grands principes de composition graphique s’applique bien entendu à la création de logo : le rappport hauteur-largeur, l’utlisation de contraste et le choix d’une symétrie ou d’une asymétrie en définissent le caractère.

On peut ainsi jouer avec plusieurs composants du texte : La police dont il est constitué, son approche, son échelle, son orientation ou sa mise en perspective, sa présentation sur un fond négatif ou dans un cadre quelconque, le changement de type de police, de style ou de couleur en cours de mot... On peut également bénéficier des rapports qu’ont les lettres entre elles pour obtenir des constructions ludiques et inspirées : La rondeur d’un «o» autour duquel peut s’articuler d’autres éléments, la symétrie des «d», «b», «q» et «p», la répétition des jambages du «n» et du «m», les queues du «j» et du »z» qui, déformées, peuvent souligner dynamiquement l’ensemble d’un mot, la spine du «s» qui, agrandie, peut fournir un axe élégant... Chaque caractère posséde sa propre force graphique et leur réunion donnent toujours lieu à de multiples jeux de composition que leur forme suggère.

Une fois que le logo est conçu, nous devons l’appliquer aux documents d’entreprise, en-tête, enveloppes, fax, bristol de remerciement, cartes de visite. Chaque mise en page dépendra du format mais on respectera une même charte graphique pour chacun d’entre eux (placement, police de caractères des coordonnées, éléments visuels supplémentaires).

1. Sachant que presque toutes les lettres ont un format standard A4 qui se plie en deux ou en trois, il faut toujours envisager une mise en page qui ne coupe aucune information.
2. Les champs d’adresse du destinataire doivent figurer en haut à droite, en face de la fenêtre qui leur est réservé sur les enveloppes.
3. Ne pas oublier d’établir des marges autorisant la perforation du document et son insertion dans un classeur.
4. Se méfier des dégradés et de leur emploi sur un fax.
5. Ne jamais utiliser de corps de police plus petit que 8 pt.
6. Choisir une épaisseur de papier importante pour la carte de visite.
7. Si la carte comporte un fond de couleur, appliquer un fond perdu pour éviter les filets blancs qui résultent de mauvaises découpes.
8. Dans le cas où le client décide de ne pas faire d’impressions de ces documents par un tiers mais qu’il préfère rédiger son courrier sur une mise en page propriétaire et l’imprimer par ces soins sur son propre matériel, le graphiste devra prévoir la réalisation des fichiers informatiques adéquats et verrouiller les éléments récurrents pour éviter toute mauvaise manipulation.

En élément récurrent dans toute la gamme des prestations graphique pour une tiers, on n'oubliera pas que ces règles peuvent être sauvagement transgressées par le client, qui reste le dernier décideur... :D;)
D S
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Enregistré le : sam. juil. 01, 2006 5:15 pm

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L'est quand même bon le JM :thumbup::P

Et dire qu'il va s'acheter une guèze :o:(

Beau boulot :thumbup:;):cool:
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