Toute la nuit, la phrase d'Eric, qui est arrivé le premier sur la voiture détruite, a résonné dans ma tête :
"Quand je suis arrivé, compte tenu de la violence de l'accident, j'ai été soulagé de voir qu'il respirait encore. Je l'ai supplié de continuer mais il n'a pas réagi. "
Puis d'autres détails que je vais pas rendre publics, par décence ...
Ensuite, il s'est indigné : "moi, je ne voulais pas de ce bac à gravier, je me suis beaucoup battu contre. Mais la FFSA me l'a imposé pour homologuer le circuit.
Un rail, lui, aurait complètement empêché cet accident : L'auto se serait calée contre et aurait souffert, certes, mais serait restée sur ses roues, préservant le pilote. "