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TERRY a écrit : Fébreaaaaauuu me maaaaaaanque !!
Même Villeneuve finalement
Greenfairy a écrit :Faut pas rêver, ce n’est pas du haut niveau non plus…je suis d’ailleurs étonné par Villeneuve qui est souvent à l’ouest sur les autos ou les positions, là où moi, simple pekin, j’arrive à suivre en faisant autre chose en même temps…:oTERRY a écrit : Fébreaaaaauuu me maaaaaaanque !!
Même Villeneuve finalement
Du coup, je vais tenter de faire comme gil91 dimanche et suivre la course avec les commentaires de Sky, en anglais donc
George Russell
Même s'il y a eu quelques regrets de ne pas pouvoir reprendre la course dimanche parce que sa monoplace avait été peu abimée finalement (juste une crevaison) et aurait pu prendre le second départ sans problème. Quand on voit la performance de Lewis, ce sont donc pas mal de points en moins pour les deux championnats pour Mercedes.
Russell
"Quand je suis revenu à la voiture, je ne pouvais pas la démarrer mais je voulais vérifier avec mon équipe.
Quand je suis revenu dans le paddock, la voiture était déjà sur le plateau et ils ont dit que l'on ne pouvait pas repartir.
C'est gênant parce que le seul problème que l'on avait, c'était une crevaison. La voiture était globalement en bon état.
Il y avait quelques dégâts mais rien d'extraordinaire.
Apparemment, à partir du moment où l'on a reçu de l'aide, on ne peut pas repartir. C'est très frustrant parce que la voiture n'avait qu'une crevaison.
Et il ne fait aucun doute que l'on avait le rythme pour remonter jusqu'à la sixième place.
Source : https://ch-fr.motorsport.com/f1/news/em ... /10332905/
Même s'il y a eu quelques regrets de ne pas pouvoir reprendre la course dimanche parce que sa monoplace avait été peu abimée finalement (juste une crevaison) et aurait pu prendre le second départ sans problème. Quand on voit la performance de Lewis, ce sont donc pas mal de points en moins pour les deux championnats pour Mercedes.
Russell
"Quand je suis revenu à la voiture, je ne pouvais pas la démarrer mais je voulais vérifier avec mon équipe.
Quand je suis revenu dans le paddock, la voiture était déjà sur le plateau et ils ont dit que l'on ne pouvait pas repartir.
C'est gênant parce que le seul problème que l'on avait, c'était une crevaison. La voiture était globalement en bon état.
Il y avait quelques dégâts mais rien d'extraordinaire.
Apparemment, à partir du moment où l'on a reçu de l'aide, on ne peut pas repartir. C'est très frustrant parce que la voiture n'avait qu'une crevaison.
Et il ne fait aucun doute que l'on avait le rythme pour remonter jusqu'à la sixième place.
Source : https://ch-fr.motorsport.com/f1/news/em ... /10332905/
https://www.actuf1.com/article/470751
La FIA somme Red Bull et Ferrari de modifier leurs planchers
Red Bull et Ferrari subissent un coup dur alors que la FIA réprime les planchers présumés illégaux. Ils devront être changés avant le GP de France
Lorsque les nouvelles réglementations techniques ont été introduites au début de l’année 2022, le directeur technique et sportif du championnat du monde de Formule 1 et le PDG de la Formule 1, Ross Brawn et Stefano Domenicali, ont prédit que certaines équipes s’efforceraient de trouver des failles à exploiter.
Il semble que c’est peut-être ce qui s’est produit dans la législation actuelle, et cela concerne le fond plat et le plancher. Ferrari et Red Bull ont eu beaucoup moins de difficultés que Mercedes cette saison en termes de marsouinage et les Flèches d’argent ont perdu beaucoup de performance en conséquence.
Cela était assez violent pour devenir un problème de sécurité pour Lewis Hamilton et George Russell. Par conséquent, la FIA a pris des mesures avant le Grand Prix du Canada. Ils ont introduit une directive technique qui a donné lieu à une méthode de calcul permettant de déceler les équipes qui rebondissent de manière excessive.
Toute équipe qui rencontre des niveaux dangereux d’oscillation sera, à partir du Grand Prix de France, invitée à relever la hauteur de caisse de ses voitures. Afin de fixer une limite, l’instance dirigeante a pris des mesures des voitures à Montréal pour établir quelle voiture oscille le plus, et quel niveau est acceptable avant que la course ne devienne dangereuse.
Le règlement stipule que deux zones spécifiques du fond plat – ainsi que le plancher lui-même – ne sont pas autorisés à fléchir de plus de 2 mm sous une pression donnée. Ceci est conforme à l’article 3.15.8 du règlement technique, mais l’arrière du plancher autour de la zone d’assise du pilote n’est pas directement abordé.
Ferrari et Red Bull auraient utilisé cette disposition à leur avantage en offrant à leurs pilotes une plus grande stabilité sur le plancher en déviant de plus de 2 mm, ce qui leur permet de prendre les lignes droites et les virages avec moins de rebonds. Cependant, ceci n’est pas strictement illégal, car le règlement ne l’interdit pas techniquement.
Néanmoins cela ne sera pas autorisé lors du Grand Prix de France lorsque la directive sera appliquée, et le patron de Mercedes, Toto Wolff, s’est dit surpris que cette technique soit utilisée. « Personne n’en avait l’idée jusqu’à ce que la FIA en parle lors du dernier comité consultatif technique », a déclaré l’Autrichien dans une interview accordée à The Race.
« Ce qui a été une grande surprise pour toutes les équipes parce que ce qui est dans le règlement, et ce qui était l’intention du règlement, c’est assez clair. Il n’y a pas d’argument pour que cela puisse dévier plus que ce qui est dans le règlement. C’est un peu une surprise pour le moins, plutôt un choc. »
L’ingénieur de piste Andrew Shovlin a ajouté qu’en raison du fait que les deux équipes de tête devront changer la configuration de leurs planchers dans quelques semaines, les Flèches d’argent pourraient être remises en jeu.
« Lorsque cela a été révélé, nous avons réalisé qu’il y avait des opportunités que nous n’avons peut-être pas saisies ou exploitées », a-t-il ajouté. « Donc, cela ne nous affectera pas dans la façon dont nous gérons notre voiture. Il se peut que cela affecte nos concurrents et que, par conséquent, nous nous rapprochions un peu plus. »
Le patron de Red Bull, Christian Horner, a affirmé au Canada qu’il aurait dû y avoir un processus de « consultation » avant d’introduire la nouvelle directive, tandis que le directeur de l’équipe Ferrari, Mattia Binotto, a déclaré que la directive n’est pas « applicable » en l’état.
Dans le camp Red Bull, on a le sentiment qu’après avoir maîtrisé le règlement et construit une meilleure voiture, la FIA fait le travail de Mercedes à leur place en faisant reculer les leaders. Cela aurait conduit à un débat « houleux » entre Wolff et Binotto à Montréal, les patrons d’équipe essayant de trouver un équilibre entre performance et sécurité, mais une chose est sûre : il sera fascinant de voir comment Ferrari et Red Bull se comporteront si et quand leurs planchers seront ajustés au Grand Prix de France.
La FIA somme Red Bull et Ferrari de modifier leurs planchers
Red Bull et Ferrari subissent un coup dur alors que la FIA réprime les planchers présumés illégaux. Ils devront être changés avant le GP de France
Lorsque les nouvelles réglementations techniques ont été introduites au début de l’année 2022, le directeur technique et sportif du championnat du monde de Formule 1 et le PDG de la Formule 1, Ross Brawn et Stefano Domenicali, ont prédit que certaines équipes s’efforceraient de trouver des failles à exploiter.
Il semble que c’est peut-être ce qui s’est produit dans la législation actuelle, et cela concerne le fond plat et le plancher. Ferrari et Red Bull ont eu beaucoup moins de difficultés que Mercedes cette saison en termes de marsouinage et les Flèches d’argent ont perdu beaucoup de performance en conséquence.
Cela était assez violent pour devenir un problème de sécurité pour Lewis Hamilton et George Russell. Par conséquent, la FIA a pris des mesures avant le Grand Prix du Canada. Ils ont introduit une directive technique qui a donné lieu à une méthode de calcul permettant de déceler les équipes qui rebondissent de manière excessive.
Toute équipe qui rencontre des niveaux dangereux d’oscillation sera, à partir du Grand Prix de France, invitée à relever la hauteur de caisse de ses voitures. Afin de fixer une limite, l’instance dirigeante a pris des mesures des voitures à Montréal pour établir quelle voiture oscille le plus, et quel niveau est acceptable avant que la course ne devienne dangereuse.
Le règlement stipule que deux zones spécifiques du fond plat – ainsi que le plancher lui-même – ne sont pas autorisés à fléchir de plus de 2 mm sous une pression donnée. Ceci est conforme à l’article 3.15.8 du règlement technique, mais l’arrière du plancher autour de la zone d’assise du pilote n’est pas directement abordé.
Ferrari et Red Bull auraient utilisé cette disposition à leur avantage en offrant à leurs pilotes une plus grande stabilité sur le plancher en déviant de plus de 2 mm, ce qui leur permet de prendre les lignes droites et les virages avec moins de rebonds. Cependant, ceci n’est pas strictement illégal, car le règlement ne l’interdit pas techniquement.
Néanmoins cela ne sera pas autorisé lors du Grand Prix de France lorsque la directive sera appliquée, et le patron de Mercedes, Toto Wolff, s’est dit surpris que cette technique soit utilisée. « Personne n’en avait l’idée jusqu’à ce que la FIA en parle lors du dernier comité consultatif technique », a déclaré l’Autrichien dans une interview accordée à The Race.
« Ce qui a été une grande surprise pour toutes les équipes parce que ce qui est dans le règlement, et ce qui était l’intention du règlement, c’est assez clair. Il n’y a pas d’argument pour que cela puisse dévier plus que ce qui est dans le règlement. C’est un peu une surprise pour le moins, plutôt un choc. »
L’ingénieur de piste Andrew Shovlin a ajouté qu’en raison du fait que les deux équipes de tête devront changer la configuration de leurs planchers dans quelques semaines, les Flèches d’argent pourraient être remises en jeu.
« Lorsque cela a été révélé, nous avons réalisé qu’il y avait des opportunités que nous n’avons peut-être pas saisies ou exploitées », a-t-il ajouté. « Donc, cela ne nous affectera pas dans la façon dont nous gérons notre voiture. Il se peut que cela affecte nos concurrents et que, par conséquent, nous nous rapprochions un peu plus. »
Le patron de Red Bull, Christian Horner, a affirmé au Canada qu’il aurait dû y avoir un processus de « consultation » avant d’introduire la nouvelle directive, tandis que le directeur de l’équipe Ferrari, Mattia Binotto, a déclaré que la directive n’est pas « applicable » en l’état.
Dans le camp Red Bull, on a le sentiment qu’après avoir maîtrisé le règlement et construit une meilleure voiture, la FIA fait le travail de Mercedes à leur place en faisant reculer les leaders. Cela aurait conduit à un débat « houleux » entre Wolff et Binotto à Montréal, les patrons d’équipe essayant de trouver un équilibre entre performance et sécurité, mais une chose est sûre : il sera fascinant de voir comment Ferrari et Red Bull se comporteront si et quand leurs planchers seront ajustés au Grand Prix de France.