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En l'occurrence c'est d'un trail dont il s'agit, dans un environnement qui ne se veut justement pas trop artificialisé et donc exempt de la foule citadine type évènement A.S.O.
Les encouragements, c'est sympa. J'ai d'excellents souvenirs, notamment de Norvège où la densité est très faible, où quelques locaux font l'effort de supporter les athlètes malgré des conditions parfois difficiles. Et à certains moments, sur des efforts très longs et parfois monotones, c'est très appréciable.
Après, c'est comme tout, point trop n'en faut. En ville, sur des courses denses et rapides type 10/20/semi, ça m'est assez égal, je n'y fais pas attention.
Les encouragements, c'est sympa. J'ai d'excellents souvenirs, notamment de Norvège où la densité est très faible, où quelques locaux font l'effort de supporter les athlètes malgré des conditions parfois difficiles. Et à certains moments, sur des efforts très longs et parfois monotones, c'est très appréciable.
Après, c'est comme tout, point trop n'en faut. En ville, sur des courses denses et rapides type 10/20/semi, ça m'est assez égal, je n'y fais pas attention.
Vu sur Facebook
10 TRUCS QUE LE COUREUR DE TRAIL N’AVOUERA JAMAIS :
• 1. Le caca de la peur : un truc assez indescriptible, souvent en plusieurs fois et parfois un peu dans le fond du slip.
• 2. Ses pieds ignobles : des ongles gris ou noirs et des peaux fendues. Fallait pas trop se moquer des Allemands qui mettent des chaussettes en plus de leurs sandales, tu vas faire pareil.
• 3. Les insultes dans sa tête : des trucs en allemand qui font référence à des mamans et surtout cette question qui tourne à partir de la moitié de la course : « MAIS POURQUOI TU CONTINUES CE SPORT DE C** ?! ».
• 4. La nutrition fine : enquiquiner tout le monde avec son plan nutrition au gramme de glucide près pour finalement se faire un sandwich saucisson/mayo et descendre 2 litres de Coca au 1er ravito.
• 5. L’analyse de la concurrence : avec au préalable la liste des participants mais surtout quelques minutes avant le départ avec deux paramètres : les guiboles et la qualité du matériel. Ce qui est souvent trompeur car non, se déguiser en Kilian Jornet n’assure pas la victoire.
• 6. La galère pour son assistance : des promesses d’aventure partagée alors que l’assistance va faire quatre fois le tour de la Terre pour filer trois flasks et deux gels puis prendre un rot au visage.
• 7. Les gestions hasardeuses : partir à bloc pour épater la galerie, exploser, avoir une fringale de l’espace à ne plus savoir son adresse, manger comme un goinfre, pioncer 2 heures à la base de vie pour digérer, repartir tranquille, terminer à bloc pour épater la galerie et balancer un « plutôt une bonne gestion de course, je progresse bien ».
• 8. Le regard des autres : il ne le dira jamais mais clairement, il puise sa motivation dans l’envie d’en mettre plein la vue sur Strava et Instagram.
• 9. La préparation : dans 99,99% des cas le coureur dira qu’il est bien préparé pour son défi de l’année alors que dans 99,99% il ne l’est pas du tout.
• 10. Les bruits suspects : la nature, le bon air, la liberté. Et les gros pets lâchés en toute tranquillité au nez du coureur placé dans l’aspiration. Habile.
Vous confirmez ?
10 TRUCS QUE LE COUREUR DE TRAIL N’AVOUERA JAMAIS :
• 1. Le caca de la peur : un truc assez indescriptible, souvent en plusieurs fois et parfois un peu dans le fond du slip.
• 2. Ses pieds ignobles : des ongles gris ou noirs et des peaux fendues. Fallait pas trop se moquer des Allemands qui mettent des chaussettes en plus de leurs sandales, tu vas faire pareil.
• 3. Les insultes dans sa tête : des trucs en allemand qui font référence à des mamans et surtout cette question qui tourne à partir de la moitié de la course : « MAIS POURQUOI TU CONTINUES CE SPORT DE C** ?! ».
• 4. La nutrition fine : enquiquiner tout le monde avec son plan nutrition au gramme de glucide près pour finalement se faire un sandwich saucisson/mayo et descendre 2 litres de Coca au 1er ravito.
• 5. L’analyse de la concurrence : avec au préalable la liste des participants mais surtout quelques minutes avant le départ avec deux paramètres : les guiboles et la qualité du matériel. Ce qui est souvent trompeur car non, se déguiser en Kilian Jornet n’assure pas la victoire.
• 6. La galère pour son assistance : des promesses d’aventure partagée alors que l’assistance va faire quatre fois le tour de la Terre pour filer trois flasks et deux gels puis prendre un rot au visage.
• 7. Les gestions hasardeuses : partir à bloc pour épater la galerie, exploser, avoir une fringale de l’espace à ne plus savoir son adresse, manger comme un goinfre, pioncer 2 heures à la base de vie pour digérer, repartir tranquille, terminer à bloc pour épater la galerie et balancer un « plutôt une bonne gestion de course, je progresse bien ».
• 8. Le regard des autres : il ne le dira jamais mais clairement, il puise sa motivation dans l’envie d’en mettre plein la vue sur Strava et Instagram.
• 9. La préparation : dans 99,99% des cas le coureur dira qu’il est bien préparé pour son défi de l’année alors que dans 99,99% il ne l’est pas du tout.
• 10. Les bruits suspects : la nature, le bon air, la liberté. Et les gros pets lâchés en toute tranquillité au nez du coureur placé dans l’aspiration. Habile.
Vous confirmez ?
detuning-man a écrit : Vu sur Facebook
10 TRUCS QUE LE COUREUR DE TRAIL N’AVOUERA JAMAIS :
• 1. Le caca de la peur : un truc assez indescriptible, souvent en plusieurs fois et parfois un peu dans le fond du slip.
• 2. Ses pieds ignobles : des ongles gris ou noirs et des peaux fendues. Fallait pas trop se moquer des Allemands qui mettent des chaussettes en plus de leurs sandales, tu vas faire pareil.
• 3. Les insultes dans sa tête : des trucs en allemand qui font référence à des mamans et surtout cette question qui tourne à partir de la moitié de la course : « MAIS POURQUOI TU CONTINUES CE SPORT DE C** ?! ».
• 4. La nutrition fine : enquiquiner tout le monde avec son plan nutrition au gramme de glucide près pour finalement se faire un sandwich saucisson/mayo et descendre 2 litres de Coca au 1er ravito.
• 5. L’analyse de la concurrence : avec au préalable la liste des participants mais surtout quelques minutes avant le départ avec deux paramètres : les guiboles et la qualité du matériel. Ce qui est souvent trompeur car non, se déguiser en Kilian Jornet n’assure pas la victoire.
• 6. La galère pour son assistance : des promesses d’aventure partagée alors que l’assistance va faire quatre fois le tour de la Terre pour filer trois flasks et deux gels puis prendre un rot au visage.
• 7. Les gestions hasardeuses : partir à bloc pour épater la galerie, exploser, avoir une fringale de l’espace à ne plus savoir son adresse, manger comme un goinfre, pioncer 2 heures à la base de vie pour digérer, repartir tranquille, terminer à bloc pour épater la galerie et balancer un « plutôt une bonne gestion de course, je progresse bien ».
• 8. Le regard des autres : il ne le dira jamais mais clairement, il puise sa motivation dans l’envie d’en mettre plein la vue sur Strava et Instagram.
• 9. La préparation : dans 99,99% des cas le coureur dira qu’il est bien préparé pour son défi de l’année alors que dans 99,99% il ne l’est pas du tout.
• 10. Les bruits suspects : la nature, le bon air, la liberté. Et les gros pets lâchés en toute tranquillité au nez du coureur placé dans l’aspiration. Habile.
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