Toutes les questions sur la pratique de la Porsche sur circuit , ainsi que les améliorations qui en découlent et les infos sur les compétitions . Note : Les messages du sous forum "Circuits - Compétition Autres Clubs" n’apparaissent pas dans les "Derniers Messages".
Week-end de m….
N’étant pas superstitieux, je pars le cœur vaillant par un beau vendredi 13 ensoleillé juste après avoir récupéré mon auto grâce à mon mécano qui encore une fois a pu me la rendre à temps… Le pare-brise de ma belle arbore désormais un beau bandeau gris mat (pour compenser l’absence de pare-soleil non montés par l’usine sur la Clubsport à cause de l’arceau), les disques avant sont neufs et équipés de Pagid jaunes. La diode du shift light est descendue pour que je puisse enfin la voir et l’aileron de Cup, le volant tulipé ainsi que les BBS ont été remontées après le contrôle technique.
Bon, je ne suis pas non plus rassuré à 100% car je viens d’apprendre que les BBS en question montées sur le train arrière de ma GT3 ont une chacune une petite fissure (fragilité du magnésium), ce qui est synonyme de remplacement au retour du week-end. Ca commence bien.
La route est belle dans le Jura et je me régale littéralement car le châssis est au top et les conditions vraiment idéales. Je suis parti tôt pour ne pas avoir trop de monde et rouler sans excès.
D’ailleurs, j’ai droit à un petit contrôle inopiné au bord d’une route, ce sont les douaniers Suisses qui sont postés là pour vérifier les papiers bien avant la frontière. Tout est en règle et malgré l’aileron, les jantes, le volant, la hauteur de caisse et la bande pare-soleil non conformes, ils me laissent repartir.
Une fois la frontière passée, le voyage continue jusqu’en Essonne et je rigole quand je passe deux motards de la gendarmerie munis d’une paire de jumelles et postés juste après une aire de l’autoroute et qui me voient passer à moins de 130 km/h. Le plus drôle est celui qui tient les jumelles et vérifie avec un air hébété qu’il n’y a pas d’erreur.
Arrivé chez mes parents un poil claqué, je dîne et repars pour l’hôtel à Dourdan (non loin donc du rendez-vous du samedi matin juste avant le péage de St Arnoult en Yvelines car le garage de mon père est en bordel et ils ne peuvent pas mettre ma voiture dedans.
Je mets 1h30 pour arriver à l’hôtel dont au moins la moitié dans un gros bouchon suite à l’incendie d’un semi-remorque qui bloque tout. Une fois sur place, je m’apprête à payer la réceptionniste mais mon portefeuille a disparu, les péripéties continuent… Après 45mn de fouille en règle de mes bagages et de la voiture (j’ai même dû enlever la moquette pour être sûr
:D:D), rien. Grâce à l’emprunte de la carte qui avait été faite lors de la réservation, je peux quand même payer ma chambre et aller me coucher.
Le lendemain, mon pote m’attend à 7h25 au point de rendez-vous et nous attendons le reste du convoi. 2 minutes après arrivent Philippe en 993 Carrera 4 montée en 3.8 (d’ailleurs à vendre) et un ami lui aussi en 993. 7h35, personne d’autre n’arrive, nous décidons de repartir. Entre temps, j’ai confirmation que mon portefeuille a été simplement oublié chez mes parents mais je devrai attendre le retour pour le récupérer.
Arrivé sur le circuit, il faut grand beau, il y a pas mal de monde et le temps de récupérer les papiers et se préparer, nous nous pointons avec mon pote sur la pite-lane à 9h30 tapantes. La chance me sourit encore une fois puisqu’on me fais signe de faire demi-tour. Les horaires ont changé car il y a trop de monde et que le nombre de voitures est limité. Dur dur… Nous devrons attendre 11h pour pouvoir rouler, c’était bien la peine de se lever tôt…
Entre temps, je retrouve le FRT et son scribe, la Danoise et Adonf et les autres habitués dont Boubi, Vincent, TT150 et M3 avec qui nous partagerons le repas du midi dans un petit restaurant situé à Arnage, pas cher et bon de surcroît.
La séance de 11h se déroule pas mal mais la voiture glisse trop et après quelques tours, je refais la pression, je suis à 2.5. 300 grammes en moins et je peux reprendre la piste, ça va nettement mieux. Mon souci : je ne connais pas trop le circuit car je n’ai roulé le Bugatti qu’une fois il y a deux ans et je n’avais pas pris de cours…
Du coup, je ne suis pas très à l’aise et j’essaie de ne pas y aller trop fort. Je suis témoin pendant cette séance d’une arsouille mémorable entre PierreRS et Yanouche qui se passent, se repassent et s’amusent même à faire une partie du tracé, portière contre portière, magnifique !
Une fois le repas avalé, nous repartons pour la séance libre de l’après-midi mais au bout de quelques tours et après m’être rendu compte que les Corsa sont de plus en plus pourris en terme de qualité, un bruit méchant se fait sentir à l’arrière gauche lors d’appuis prononcés. Dans la mesure où le moindre bruit suspect me rend parano, je fais un tour de refroidissement et je rentre dans les paddocks.
Après discussion avec les uns et les autres, j’entends parler de roulement puis ensuite de cardans et voyant Gourou discuter avec Franck de ST (Sport Technik) devant un parterre de GT3 Cup et RS, j’ose leur demander conseil. Franck regarde alors sous l’auto et me parle d’un problème de cardan suite à ma description du bruit entendu juste avant. Il confirme que le cardan arrière gauche est fatigué et me propose alors de le remplacer par un cardan provenant de la Cup de Magnum remplacé par un neuf pour les 24h de Dubaï.
Une heure après, le travail est effectué et tout en trouvant le temps d’assister les pilotes qui font appel à lui en même temps, il a réussi un travail fantastique. Il est minutieux, propre est rapide et son équipe est au diapason. Au passage, j’apprends que le droit n’est pas au top non plus et qu’il faudra le changer rapidement.
Les sessions ont passé pendant ce temps-là, c’est un peu le bordel car il y a peu de place et beaucoup (trop ?) de voitures.
Du coup, je roule la deuxième session du Groupe 3 mais il est déjà 17h et les anciens horaires ont refait leur apparition. Il faudra être patient à chaque fois car la file d’attente est relativement longue et le délai pour accéder à la piste s’en ressent.
Bref, je reprends quand même la piste mais après un tour de chauffe et une petite attaque, le bruit est toujours présent. Je retourne voir Franck qui me propose alors de remplacer le cardan droit. Je ne me fais pas prier même si je suis quand même gêné par sa gentillesse alors qu’il ne me connaît pas.
Il finira à 19h30 après s’être occupé de ses pilotes, la soirée de gala ayant lieu à 20h. Je le remercie vivement et je retourne à l’hôtel pour une douche bien mérité après avoir copieusement pesté contre les routes du Mans en travaux et le spoiler décidemment trop bas de la GT3. je vous passe du coup l’épisode du tremblement de volant au freinage qui semblerait provenir d’un mauvais rodage des nouveaux freins (je n’avais sous le coude que des Pagid jaunes récupérées par Jiss lors de l’achat de sa GT3). Les disques sont apparemment voilés mais j’attends la confirmation.
Super soirée avec Christophe et Grégory, les nouveaux propriétaires de ma 993 qui en sont ravis, Bruno (avec sa magnifique 993 RS rouge) et son ami qui m’a bien montré le lendemain les bonnes trajectoires, FX et Axel, les deux inséparables ainsi que Jenfi, arrivé un peu tard comme moi mais qui sera accueilli chaleureusement. Assurément le meilleur moment du week-end.
Minuit, au dodo et retour au circuit à la fraîche le lendemain après avoir refait la pression avec FX et Axel et le plein aussi (non sans avoir tourné un moment pour trouver notre chemin avec tous ces travaux). Merci au passage à Axel pour la bouteille d’eau et Christophe à qui je dois 100€ (toujours pas de portefeuille à l’horizon)…
Cette fois nous sommes là au suffisamment tôt mais le brouillard contraint les organisateurs à bloquer l’accès à la piste. Il faudra attendre un moment avant de prendre la piste et encore, en warnings, feux de route, avec l’interdiction de doubler et derrière un « pace car ». Ces quelques tours n’auront d’autre intérêt que de me voir expliquer les trajectoires et me rendre compte que malgré le changement des cardans, le bruit est toujours présent. Aïe !
Retour dans les paddocks, discussion avec Franck et il me propose de prendre son apprenti en passager car il a du travail, ça permettra de se faire une meilleure idée de la provenance du bruit. Aussitôt dit aussitôt fait, de toute façon, il n’y a plus vraiment de groupe et comme j’ai monté mon système vidéo le matin avant de partir, c’est l’occasion de tester.
C’est reparti pour quelques tours, ça grogne sec à l’arrière à chaque virage appuyé à droite et en plus de ça, la suspension avant grince assez fortement, le week-end pourri continue !
Retour dans les paddocks encore une fois et verdict de Franck : autoblocant en cause et il ne peut rien faire. J’en profite au passage pour lui adresser mes remerciements pour son sens de l’entraide, rien ne l’obligeait à m’aider et pourtant il l’a fait sans aucune arrière-pensée comme il l’aurait fait pour ses propres pilotes, chapeau !
Pour couronner le week-end, une des fissures des BBS s’est agrandie et je devrai rouler cool au retour. Dépité, je remballe (tout le monde est à la parade) et je décide de rentrer.
Arrivé au péage, je fais demi-tour (toujours pas de portefeuille) et le retour jusque dans l’Essonne se fera par les départementales et les nationales, dur dur avec le châssis… Je passe donc la nuit chez mes parents qui ont rangé le garage pour que je puisse rentrer ma belle et qui devront subir une tentative de vol de la pauvre 306 délabrée de ma mère pendant la nuit (sans succès, anti-démarrage oblige) pour repartir le lendemain avec des moyens de paiement cette fois et reposé.
Sur le chemin, je prends des nouvelles de Denis (le pauvre avait dû faire le trajet complet de la Suisse vers la France avec la GT2 suite au blocage de son attelage pour cause de crochet de remorquage non conforme et s’était vu contraindre de rentrer le dimanche matin pour cause de problème de puissance moteur, il semblerait que ce ne soit finalement que le débitmètre)…
Je refais le plein et pour la première fois de ma vie, je repars de la station avec le pistolet encore accroché à la voiture, ce qui me vaut une aile enfoncée et le goulot du réservoir arraché (vous pouvez vous lâcher, je suis vraiment un abruti…).
Finalement dans mon malheur et comme je rentre sans trop faire d’excès de vitesses, je passe devant une paire de jumelles et par la suite un radar embarqué sans être inquiété tout en pensant à la fuite d’huile détectée par Franck sous le moteur et que je n’avais pas en arrivant.
Tout ça pour dire que si j’avais su, je serais resté sagement à la maison à me la couler douce et à regarder le grand prix de F1, argh… C’est à un tel point qu’en amenant ma grenouille chez Vito, j’étais près à la mettre en vente. Maintenant je me demande si je vais venir à Dijon tellement je suis dégoûté…
Merci d’avoir lu tout ça, j’avais besoin de me défouler
N’étant pas superstitieux, je pars le cœur vaillant par un beau vendredi 13 ensoleillé juste après avoir récupéré mon auto grâce à mon mécano qui encore une fois a pu me la rendre à temps… Le pare-brise de ma belle arbore désormais un beau bandeau gris mat (pour compenser l’absence de pare-soleil non montés par l’usine sur la Clubsport à cause de l’arceau), les disques avant sont neufs et équipés de Pagid jaunes. La diode du shift light est descendue pour que je puisse enfin la voir et l’aileron de Cup, le volant tulipé ainsi que les BBS ont été remontées après le contrôle technique.
Bon, je ne suis pas non plus rassuré à 100% car je viens d’apprendre que les BBS en question montées sur le train arrière de ma GT3 ont une chacune une petite fissure (fragilité du magnésium), ce qui est synonyme de remplacement au retour du week-end. Ca commence bien.
La route est belle dans le Jura et je me régale littéralement car le châssis est au top et les conditions vraiment idéales. Je suis parti tôt pour ne pas avoir trop de monde et rouler sans excès.
D’ailleurs, j’ai droit à un petit contrôle inopiné au bord d’une route, ce sont les douaniers Suisses qui sont postés là pour vérifier les papiers bien avant la frontière. Tout est en règle et malgré l’aileron, les jantes, le volant, la hauteur de caisse et la bande pare-soleil non conformes, ils me laissent repartir.
Une fois la frontière passée, le voyage continue jusqu’en Essonne et je rigole quand je passe deux motards de la gendarmerie munis d’une paire de jumelles et postés juste après une aire de l’autoroute et qui me voient passer à moins de 130 km/h. Le plus drôle est celui qui tient les jumelles et vérifie avec un air hébété qu’il n’y a pas d’erreur.
Arrivé chez mes parents un poil claqué, je dîne et repars pour l’hôtel à Dourdan (non loin donc du rendez-vous du samedi matin juste avant le péage de St Arnoult en Yvelines car le garage de mon père est en bordel et ils ne peuvent pas mettre ma voiture dedans.
Je mets 1h30 pour arriver à l’hôtel dont au moins la moitié dans un gros bouchon suite à l’incendie d’un semi-remorque qui bloque tout. Une fois sur place, je m’apprête à payer la réceptionniste mais mon portefeuille a disparu, les péripéties continuent… Après 45mn de fouille en règle de mes bagages et de la voiture (j’ai même dû enlever la moquette pour être sûr
:D:D), rien. Grâce à l’emprunte de la carte qui avait été faite lors de la réservation, je peux quand même payer ma chambre et aller me coucher.Le lendemain, mon pote m’attend à 7h25 au point de rendez-vous et nous attendons le reste du convoi. 2 minutes après arrivent Philippe en 993 Carrera 4 montée en 3.8 (d’ailleurs à vendre) et un ami lui aussi en 993. 7h35, personne d’autre n’arrive, nous décidons de repartir. Entre temps, j’ai confirmation que mon portefeuille a été simplement oublié chez mes parents mais je devrai attendre le retour pour le récupérer.
Arrivé sur le circuit, il faut grand beau, il y a pas mal de monde et le temps de récupérer les papiers et se préparer, nous nous pointons avec mon pote sur la pite-lane à 9h30 tapantes. La chance me sourit encore une fois puisqu’on me fais signe de faire demi-tour. Les horaires ont changé car il y a trop de monde et que le nombre de voitures est limité. Dur dur… Nous devrons attendre 11h pour pouvoir rouler, c’était bien la peine de se lever tôt…
Entre temps, je retrouve le FRT et son scribe, la Danoise et Adonf et les autres habitués dont Boubi, Vincent, TT150 et M3 avec qui nous partagerons le repas du midi dans un petit restaurant situé à Arnage, pas cher et bon de surcroît.
La séance de 11h se déroule pas mal mais la voiture glisse trop et après quelques tours, je refais la pression, je suis à 2.5. 300 grammes en moins et je peux reprendre la piste, ça va nettement mieux. Mon souci : je ne connais pas trop le circuit car je n’ai roulé le Bugatti qu’une fois il y a deux ans et je n’avais pas pris de cours…
Du coup, je ne suis pas très à l’aise et j’essaie de ne pas y aller trop fort. Je suis témoin pendant cette séance d’une arsouille mémorable entre PierreRS et Yanouche qui se passent, se repassent et s’amusent même à faire une partie du tracé, portière contre portière, magnifique !
Une fois le repas avalé, nous repartons pour la séance libre de l’après-midi mais au bout de quelques tours et après m’être rendu compte que les Corsa sont de plus en plus pourris en terme de qualité, un bruit méchant se fait sentir à l’arrière gauche lors d’appuis prononcés. Dans la mesure où le moindre bruit suspect me rend parano, je fais un tour de refroidissement et je rentre dans les paddocks.
Après discussion avec les uns et les autres, j’entends parler de roulement puis ensuite de cardans et voyant Gourou discuter avec Franck de ST (Sport Technik) devant un parterre de GT3 Cup et RS, j’ose leur demander conseil. Franck regarde alors sous l’auto et me parle d’un problème de cardan suite à ma description du bruit entendu juste avant. Il confirme que le cardan arrière gauche est fatigué et me propose alors de le remplacer par un cardan provenant de la Cup de Magnum remplacé par un neuf pour les 24h de Dubaï.
Une heure après, le travail est effectué et tout en trouvant le temps d’assister les pilotes qui font appel à lui en même temps, il a réussi un travail fantastique. Il est minutieux, propre est rapide et son équipe est au diapason. Au passage, j’apprends que le droit n’est pas au top non plus et qu’il faudra le changer rapidement.
Les sessions ont passé pendant ce temps-là, c’est un peu le bordel car il y a peu de place et beaucoup (trop ?) de voitures.
Du coup, je roule la deuxième session du Groupe 3 mais il est déjà 17h et les anciens horaires ont refait leur apparition. Il faudra être patient à chaque fois car la file d’attente est relativement longue et le délai pour accéder à la piste s’en ressent.
Bref, je reprends quand même la piste mais après un tour de chauffe et une petite attaque, le bruit est toujours présent. Je retourne voir Franck qui me propose alors de remplacer le cardan droit. Je ne me fais pas prier même si je suis quand même gêné par sa gentillesse alors qu’il ne me connaît pas.
Il finira à 19h30 après s’être occupé de ses pilotes, la soirée de gala ayant lieu à 20h. Je le remercie vivement et je retourne à l’hôtel pour une douche bien mérité après avoir copieusement pesté contre les routes du Mans en travaux et le spoiler décidemment trop bas de la GT3. je vous passe du coup l’épisode du tremblement de volant au freinage qui semblerait provenir d’un mauvais rodage des nouveaux freins (je n’avais sous le coude que des Pagid jaunes récupérées par Jiss lors de l’achat de sa GT3). Les disques sont apparemment voilés mais j’attends la confirmation.
Super soirée avec Christophe et Grégory, les nouveaux propriétaires de ma 993 qui en sont ravis, Bruno (avec sa magnifique 993 RS rouge) et son ami qui m’a bien montré le lendemain les bonnes trajectoires, FX et Axel, les deux inséparables ainsi que Jenfi, arrivé un peu tard comme moi mais qui sera accueilli chaleureusement. Assurément le meilleur moment du week-end.
Minuit, au dodo et retour au circuit à la fraîche le lendemain après avoir refait la pression avec FX et Axel et le plein aussi (non sans avoir tourné un moment pour trouver notre chemin avec tous ces travaux). Merci au passage à Axel pour la bouteille d’eau et Christophe à qui je dois 100€ (toujours pas de portefeuille à l’horizon)…
Cette fois nous sommes là au suffisamment tôt mais le brouillard contraint les organisateurs à bloquer l’accès à la piste. Il faudra attendre un moment avant de prendre la piste et encore, en warnings, feux de route, avec l’interdiction de doubler et derrière un « pace car ». Ces quelques tours n’auront d’autre intérêt que de me voir expliquer les trajectoires et me rendre compte que malgré le changement des cardans, le bruit est toujours présent. Aïe !
Retour dans les paddocks, discussion avec Franck et il me propose de prendre son apprenti en passager car il a du travail, ça permettra de se faire une meilleure idée de la provenance du bruit. Aussitôt dit aussitôt fait, de toute façon, il n’y a plus vraiment de groupe et comme j’ai monté mon système vidéo le matin avant de partir, c’est l’occasion de tester.
C’est reparti pour quelques tours, ça grogne sec à l’arrière à chaque virage appuyé à droite et en plus de ça, la suspension avant grince assez fortement, le week-end pourri continue !
Retour dans les paddocks encore une fois et verdict de Franck : autoblocant en cause et il ne peut rien faire. J’en profite au passage pour lui adresser mes remerciements pour son sens de l’entraide, rien ne l’obligeait à m’aider et pourtant il l’a fait sans aucune arrière-pensée comme il l’aurait fait pour ses propres pilotes, chapeau !
Pour couronner le week-end, une des fissures des BBS s’est agrandie et je devrai rouler cool au retour. Dépité, je remballe (tout le monde est à la parade) et je décide de rentrer.
Arrivé au péage, je fais demi-tour (toujours pas de portefeuille) et le retour jusque dans l’Essonne se fera par les départementales et les nationales, dur dur avec le châssis… Je passe donc la nuit chez mes parents qui ont rangé le garage pour que je puisse rentrer ma belle et qui devront subir une tentative de vol de la pauvre 306 délabrée de ma mère pendant la nuit (sans succès, anti-démarrage oblige) pour repartir le lendemain avec des moyens de paiement cette fois et reposé.
Sur le chemin, je prends des nouvelles de Denis (le pauvre avait dû faire le trajet complet de la Suisse vers la France avec la GT2 suite au blocage de son attelage pour cause de crochet de remorquage non conforme et s’était vu contraindre de rentrer le dimanche matin pour cause de problème de puissance moteur, il semblerait que ce ne soit finalement que le débitmètre)…
Je refais le plein et pour la première fois de ma vie, je repars de la station avec le pistolet encore accroché à la voiture, ce qui me vaut une aile enfoncée et le goulot du réservoir arraché (vous pouvez vous lâcher, je suis vraiment un abruti…).
Finalement dans mon malheur et comme je rentre sans trop faire d’excès de vitesses, je passe devant une paire de jumelles et par la suite un radar embarqué sans être inquiété tout en pensant à la fuite d’huile détectée par Franck sous le moteur et que je n’avais pas en arrivant.
Tout ça pour dire que si j’avais su, je serais resté sagement à la maison à me la couler douce et à regarder le grand prix de F1, argh… C’est à un tel point qu’en amenant ma grenouille chez Vito, j’étais près à la mettre en vente. Maintenant je me demande si je vais venir à Dijon tellement je suis dégoûté…
Merci d’avoir lu tout ça, j’avais besoin de me défouler
;)Ba alors Nono:(
Evidemment que tu vas venir à Dijon, parce qu'on a une passion hyper chouette excitante, et des autos de privilégiés, alors les tracas qu'on a ça passe au second plan
;) Moi j'ai refait les soupapes, dessoudé un échappement, et peté toutes mes jantes l'année dernière et maintenant j'attaque comme un sauvage avec une RS toute neuve:P
Et puis les sorties sans notre Suisse préféré ne seront pas les memes alors arretes tout de suite de gamberger, m'as tu bien compris
P:D:D
Evidemment que tu vas venir à Dijon, parce qu'on a une passion hyper chouette excitante, et des autos de privilégiés, alors les tracas qu'on a ça passe au second plan
;) Moi j'ai refait les soupapes, dessoudé un échappement, et peté toutes mes jantes l'année dernière et maintenant j'attaque comme un sauvage avec une RS toute neuve:PEt puis les sorties sans notre Suisse préféré ne seront pas les memes alors arretes tout de suite de gamberger, m'as tu bien compris
P:D:DLa fuite d'huile, ce n'est pas en touchant dans les rues défoncées du Mans, si?
Moi, je fais mon itinéraire en fonction des travaux en ce moment.
Depuis que j'ai pété un carter moteur sur une route de montagne cet été je suis méfiant... Heureusement que c'était sur l'Audi et que c'est relativement facile à changer.
Sinon, on peut vraiment dire que tu as eu un week-end de m..... .
Je te rassure, le prochain peut difficilement être pire.
Garde le moral!
Sam
Moi, je fais mon itinéraire en fonction des travaux en ce moment.
Depuis que j'ai pété un carter moteur sur une route de montagne cet été je suis méfiant... Heureusement que c'était sur l'Audi et que c'est relativement facile à changer.
Sinon, on peut vraiment dire que tu as eu un week-end de m..... .
Je te rassure, le prochain peut difficilement être pire.
Garde le moral!
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