Venez discuter de tout et de rien sur ce forum, dans les limites admissibles par notre règlement ! Modération laissée à la libre interprétation du Staff sans préavis et selon l'humeur du moment.Tout sujet à polémique est systématiquement supprimé (football, rugby, religion, politique ect). Note : Les messages de ce sous forum n’apparaissent pas dans les "Derniers Messages".
Essai "l'Argus" après 85 km sur le Ring (qui confirme les mesures que j'avais faites):
" ...
Un véritable essai fait souvent s’envoler nos préjugés, et celui-ci le confirme… Nous attendions une A110 à la puissance un peu juste sur autoroute allemande, mais au châssis redoutable sur un Nürburgring au bitume dégradé. Nous avons précisément trouvé l’inverse : grâce au poids contenu et à l’aérodynamisme soigné de l’A110, le petit 1.8 turbo de 252 ch affiche une belle santé au-delà de 200 km/h, et permet à l’Alpine de ne pas abdiquer face aux GTI frisant les 350 ch.
A l’inverse, le Nürburgring a révélé une nouvelle facette du comportement de l’Alpine A110 : sur ce circuit rapide et très bosselé, l’orientation du châssis trouve ses limites (train arrière « léger » en grandes courbes, amortissement insuffisant sur les grosses compressions) et rend la conduite plus délicate que sur un tracé serré. Mais Alpine n’a jamais vendu son A110 comme une chasseuse de chronos, plutôt comme une formidable invitation au pilotage sur route tortueuse, ce qu’elle reste plus qu’aucune autre sportive sur le marché. Il fallait bien laisser à la très efficace Mégane IV RS une raison d’exister…"
" ...
Un véritable essai fait souvent s’envoler nos préjugés, et celui-ci le confirme… Nous attendions une A110 à la puissance un peu juste sur autoroute allemande, mais au châssis redoutable sur un Nürburgring au bitume dégradé. Nous avons précisément trouvé l’inverse : grâce au poids contenu et à l’aérodynamisme soigné de l’A110, le petit 1.8 turbo de 252 ch affiche une belle santé au-delà de 200 km/h, et permet à l’Alpine de ne pas abdiquer face aux GTI frisant les 350 ch.
A l’inverse, le Nürburgring a révélé une nouvelle facette du comportement de l’Alpine A110 : sur ce circuit rapide et très bosselé, l’orientation du châssis trouve ses limites (train arrière « léger » en grandes courbes, amortissement insuffisant sur les grosses compressions) et rend la conduite plus délicate que sur un tracé serré. Mais Alpine n’a jamais vendu son A110 comme une chasseuse de chronos, plutôt comme une formidable invitation au pilotage sur route tortueuse, ce qu’elle reste plus qu’aucune autre sportive sur le marché. Il fallait bien laisser à la très efficace Mégane IV RS une raison d’exister…"
Schwartz a écrit : Essai "l'Argus" après 85 km sur le Ring (qui confirme les mesures que j'avais faites):
" ...
Un véritable essai fait souvent s’envoler nos préjugés, et celui-ci le confirme… Nous attendions une A110 à la puissance un peu juste sur autoroute allemande, mais au châssis redoutable sur un Nürburgring au bitume dégradé. Nous avons précisément trouvé l’inverse : grâce au poids contenu et à l’aérodynamisme soigné de l’A110, le petit 1.8 turbo de 252 ch affiche une belle santé au-delà de 200 km/h, et permet à l’Alpine de ne pas abdiquer face aux GTI frisant les 350 ch.
A l’inverse, le Nürburgring a révélé une nouvelle facette du comportement de l’Alpine A110 : sur ce circuit rapide et très bosselé, l’orientation du châssis trouve ses limites (train arrière « léger » en grandes courbes, amortissement insuffisant sur les grosses compressions) et rend la conduite plus délicate que sur un tracé serré. Mais Alpine n’a jamais vendu son A110 comme une chasseuse de chronos, plutôt comme une formidable invitation au pilotage sur route tortueuse, ce qu’elle reste plus qu’aucune autre sportive sur le marché. Il fallait bien laisser à la très efficace Mégane IV RS une raison d’exister…"
Tout est dit, l’Apine c’est sur petite routes qui tournent, point !