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J'essaie de comprendre tout cela avec mon regard de béotien et ce n'est pas simple.
En gros, si le système bancaire actuel se casse la figure (les banques européennes font faillite), soit les états vont à leur secours et leur prêtent a nouveau des sous pour maintenir le système en place jusqu'à la prochaine crise, soit, vu que parmi ces banques, beaucoup sont des banques généralistes, tout un tas de gens vont perdre leurs économies.
C'est ça ?
En gros, si le système bancaire actuel se casse la figure (les banques européennes font faillite), soit les états vont à leur secours et leur prêtent a nouveau des sous pour maintenir le système en place jusqu'à la prochaine crise, soit, vu que parmi ces banques, beaucoup sont des banques généralistes, tout un tas de gens vont perdre leurs économies.
C'est ça ?
Encore plus béotien que toi, je pense que personne et surtout pas les marchés et encore moins les pays émergeant n'ont envie que tout se casse la gueule. En revanche, tout le monde se rend compte que les états ne sont pas gérés économiquement, que c'est n'importe quoi. Et on voit bien que rien ne se passe en terme de décision concrète. On met 440 Milliards alors qu'il en faudrait 3000 d'après ce que j'ai pu lire... Enfin, c'qu'on lit..
Si on ponctionne les classes moyennes, c'est la consommation qui se cassera la figure et cercle vicieux empirera la situation. Si on baisse les dépenses publiques, ça fera hurler socialement dans les secteurs visibles. Et sarko ne va pas renoncer à son avion et les ministres à leurs logements, non mais!! (partie visible seulement d'un système fait de népotisme)
Et voilà comment, avec des sans parties génitales de reproduction et des non-légitimes, on ne gouverne pas.
Bref, on est dans le caca
Un café Marcel?
Si on ponctionne les classes moyennes, c'est la consommation qui se cassera la figure et cercle vicieux empirera la situation. Si on baisse les dépenses publiques, ça fera hurler socialement dans les secteurs visibles. Et sarko ne va pas renoncer à son avion et les ministres à leurs logements, non mais!! (partie visible seulement d'un système fait de népotisme)
Et voilà comment, avec des sans parties génitales de reproduction et des non-légitimes, on ne gouverne pas.
Bref, on est dans le caca
Un café Marcel?
@Hermios, c'est un peu l'impression que j'ai : que nos gouvernants laissent pisser en attendant que ca cogne.
J'ai un peu l'impression également que le système actuel permet a chacun, quel que soit son niveau, d'en tirer des "bénéfices financiers", cela, doublé d'un fort sentiment individualiste/égoïste, pousse les gens, quel que soit leur niveau de revenu ou d'implication dans le dit système, à ne considérer que leurs intérêts propres et à se dire : je ne veux pas perdre ce que j'y gagne, donc on ne change rien.
C'est valable évidemment au niveau politique : celui qui est en place n'a pas forcément envie de faire des réformes ou des actions qui le mettraient sur un siège éjectable aux prochaines élections.
Et cette peur de perdre imprime un fort sentiment de méfiance et rompt la confiance entre banques et société par exemple, entre patrons et employés, le tout dans les deux sens.
Bref, j'ai le sentiment que le système se verrouille de lui-même et qu'on atteint les limites de l'individualisme.
J'ai un peu l'impression également que le système actuel permet a chacun, quel que soit son niveau, d'en tirer des "bénéfices financiers", cela, doublé d'un fort sentiment individualiste/égoïste, pousse les gens, quel que soit leur niveau de revenu ou d'implication dans le dit système, à ne considérer que leurs intérêts propres et à se dire : je ne veux pas perdre ce que j'y gagne, donc on ne change rien.
C'est valable évidemment au niveau politique : celui qui est en place n'a pas forcément envie de faire des réformes ou des actions qui le mettraient sur un siège éjectable aux prochaines élections.
Et cette peur de perdre imprime un fort sentiment de méfiance et rompt la confiance entre banques et société par exemple, entre patrons et employés, le tout dans les deux sens.
Bref, j'ai le sentiment que le système se verrouille de lui-même et qu'on atteint les limites de l'individualisme.