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Message original : harry
Alarmiste le raisonnement de Jeannot mais pas absurde:D
Tu sais Harry, Moi j'y connais pas grand chose des tous ces problèmes économiques et politiques à l'échelle planétaire !!!!!!!!!!!!!!
Ceci dit, je suis curieux de tout et j'essaie de m'informer ..............
J'ai juste compris qu'on nous ment et qu'on nous cache plein de trucs
Alors, comment réussir à comprendre une situation quand on nous cache la plupart des tenants et des aboutissants ????????
Juste qu'au jour où, il faut bien rendre des comptes .............
Mais là, il est déjà trop tard pour nous, pauvres couillons
Mes origines Paysannes avec le bon sens qu'on leur connait m'auront sauvées
Et puis, si comme je l'espère je me suis trompé, il sera toujours temps de racheter sur une tendance haussière dans un contexte assainit
Jeannot qui vous dit : Courage, fuyons !!!!!!!!!
Positivez un peu les gars parce là à vous lire on va bientot se tirer une balle dans la tête, y pas que le CAC ou l'immobilier ou la bourse et je ne sais quoi encore :mad::mad::mad:
Pour moi il y a: Mes enfants - ma femme - ma famille - mes amis - la santé avant tout, des crises il en à euent et il y en aura encore ainsi va la vie .
Je sais ca va pas changer grand chose mais au moins c'est dit:D:D:D
:mad::mad::mad:Pour moi il y a: Mes enfants - ma femme - ma famille - mes amis - la santé avant tout, des crises il en à euent et il y en aura encore ainsi va la vie .
Je sais ca va pas changer grand chose mais au moins c'est dit
:D:D:DMessage original : revio
Faire peur aux gens n'est pas non plus une solution
C'est vrai !!!!!!!!!
Mais les forums sont fait pour échanger nos avis, et je n'ai fait que de donner le mien...........
Ceci dit, dans mes propos, tout le monde à bien du comprendre que tout cela me dépassait, et que je me suis peut-être fait peur tout seul ?????
L'avenir nous le dira. ...........
Mais je dors plus tranquille
Jeannot.
Message original : aveyrinox
Positivez un peu les gars parce là à vous lire on va bientot se tirer une balle dans la tête, y pas que le CAC ou l'immobilier ou la bourse et je ne sais quoi encore
Pour moi il y a: Mes enfants - ma femme - ma famille - mes amis - la santé avant tout, des crises il en à euent et il y en aura encore ainsi va la vie .
Je sais ca va pas changer grand chose mais au moins c'est dit
ca va valser demain mettez vous aux abris à choisir entre le pragmatisme et l'idéologie ils ont choisi ... une fois de plus les politiques n'ont rien compris au film pourvu que je me trompe
:([Edite le 29-9-2008 par TITI]
Message original : aveyrinox
Positivez un peu les gars parce là à vous lire on va bientot se tirer une balle dans la tête, y pas que le CAC ou l'immobilier ou la bourse et je ne sais quoi encore
Pour moi il y a: Mes enfants - ma femme - ma famille - mes amis - la santé avant tout, des crises il en à euent et il y en aura encore ainsi va la vie .
Je sais ca va pas changer grand chose mais au moins c'est dit
Mais ne pas être inquiet actuellement serait de l'inconscience
C'est justement en pensant à ma descendance, ma Femme, ma famille, ma santé que j'ai juste récupéré "mes noisettes".
Quand à se tirer une balle dans la tête, ce ne devrait pas être pour les prudents de mon genre
Et pour répondre amicalement à ta phrase "des crises, il y en à déjà eut", je te citerai la formule suivante du feu John Templeton à propos de krach boursier : "cette fois, c'est différent", voici les cinq mots les plus couteux des annales de l'investissement !!!!!!!!
Jeannot.
http://fr.news.yahoo.com/afp/20080929/tbs-usa-banque-finance-politique-prev-f41e315.html
Par Virginie MONTET AFP - il y a 20 minutes
WASHINGTON (AFP) - La Chambre des représentants américains a rejeté lundi le plan de sauvetage des banques préparé par l'administration Bush, provoquant une chute d'une ampleur jamais vue à Wall Street, déjà déstabilisée par la débâcle de la banque Wachovia. Evènement
Par 228 voix contre 205, les représentants ont refusé de débloquer les 700 milliards de dollars que le secrétaire au Trésor Henry Paulson réclamait pour éponger les créances douteuses accumulées par les banques dans l'immobilier.
Ce vote, inattendu au lendemain d'un accord entre l'administration et les principaux dirigeants du Congrès, a fait plonger la Bourse de New York: le Dow Jones a perdu 6,98%, soit une perte jamais vue approchant les 800 points, et le Nasdaq 9,14%.
La suite du processus était incertaine. Le président George W. Bush, qui s'est dit "déçu" de la décision des députés, a annoncé qu'il allait travailler "avec les membres du Congrès et avec leurs chefs de file sur la manière de progresser".
"Notre stratégie est de continuer à nous attaquer de front à la situation économique et nous allons travailler à mettre en place une stratégie qui nous permette d'aller de l'avant", a poursuivi le président américain, qui a prédit que les parlementaires finiraient par adopter le plan.
La présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a déclaré que le rejet du plan "ne peut rester en l'état". "Il faut aller de l'avant", a-t-elle dit devant la presse. "Notre travail ne sera pas fini tant que nous n'y serons pas parvenus".
Selon un parlementaire qui a requis l'anonymat, rien ne devait se passer "avant jeudi au plus tôt" en raison notamment du Nouvel an juif mardi et mercredi, observé au Congrès.
Un porte-parole de Mme Pelosi, Brandon Daly, estimait en revanche que "plusieurs options" étaient encore possibles, le Sénat, qui devait voter après la Chambre, étant censé siéger mercredi.
La victoire du non est venue des propres troupes républicaines de l'administration, dans un Congrès à majorité démocrate: près de deux représentants républicains sur trois ont rejeté le plan. Les élus démocrates l'ont en revanche largement approuvé.
L'intervention de l'Etat dans le secteur privé, sans précédent dans l'histoire américaine, était très critiquée dans les rangs républicains qui disaient vouloir épargner l'argent du contribuable à un peu plus d'un mois de l'élection présidentielle et législative américaine.
Le débat a été vif à la Chambre où les opposants à cette intervention historique de l'Etat rechignaient à signer "un chèque en blanc au Trésor". "On est tout bonnement en train de sacrer le roi Henry", s'est exclamé un représentant républicain John Culberson, au sujet du secrétaire au Trésor.
Le vote de la Chambre est survenu alors que la quatrième banque du pays, Wachovia, a été rayée de la carte lundi sur intervention de l'administration Bush, qui a organisé son rachat par sa concurrente Citigroup.
Wachovia est la cinquième institution financière américaine acculée à la faillite ou au rachat en l'espace de deux semaines, après Lehman Brothers, Merrill Lynch, AIG et Washington Mutual.
Henry Paulson a défendu l'organisation par les autorités fédérales du rachat de Wachovia, en soulignant que la faillite de cet établissement aurait présenté un risque pour le système financier: Wachovia détenait à la fin juin pour 812 milliards de dollars d'actifs, pour l'essentiel sous forme de prêts.
Après l'annonce de la reprise, le président de la banque centrale américaine Ben Bernanke a assuré les marchés de "l'engagement sans faille" des autorités envers la stabilité financière.
Par Virginie MONTET AFP - il y a 20 minutes
WASHINGTON (AFP) - La Chambre des représentants américains a rejeté lundi le plan de sauvetage des banques préparé par l'administration Bush, provoquant une chute d'une ampleur jamais vue à Wall Street, déjà déstabilisée par la débâcle de la banque Wachovia. Evènement
Par 228 voix contre 205, les représentants ont refusé de débloquer les 700 milliards de dollars que le secrétaire au Trésor Henry Paulson réclamait pour éponger les créances douteuses accumulées par les banques dans l'immobilier.
Ce vote, inattendu au lendemain d'un accord entre l'administration et les principaux dirigeants du Congrès, a fait plonger la Bourse de New York: le Dow Jones a perdu 6,98%, soit une perte jamais vue approchant les 800 points, et le Nasdaq 9,14%.
La suite du processus était incertaine. Le président George W. Bush, qui s'est dit "déçu" de la décision des députés, a annoncé qu'il allait travailler "avec les membres du Congrès et avec leurs chefs de file sur la manière de progresser".
"Notre stratégie est de continuer à nous attaquer de front à la situation économique et nous allons travailler à mettre en place une stratégie qui nous permette d'aller de l'avant", a poursuivi le président américain, qui a prédit que les parlementaires finiraient par adopter le plan.
La présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a déclaré que le rejet du plan "ne peut rester en l'état". "Il faut aller de l'avant", a-t-elle dit devant la presse. "Notre travail ne sera pas fini tant que nous n'y serons pas parvenus".
Selon un parlementaire qui a requis l'anonymat, rien ne devait se passer "avant jeudi au plus tôt" en raison notamment du Nouvel an juif mardi et mercredi, observé au Congrès.
Un porte-parole de Mme Pelosi, Brandon Daly, estimait en revanche que "plusieurs options" étaient encore possibles, le Sénat, qui devait voter après la Chambre, étant censé siéger mercredi.
La victoire du non est venue des propres troupes républicaines de l'administration, dans un Congrès à majorité démocrate: près de deux représentants républicains sur trois ont rejeté le plan. Les élus démocrates l'ont en revanche largement approuvé.
L'intervention de l'Etat dans le secteur privé, sans précédent dans l'histoire américaine, était très critiquée dans les rangs républicains qui disaient vouloir épargner l'argent du contribuable à un peu plus d'un mois de l'élection présidentielle et législative américaine.
Le débat a été vif à la Chambre où les opposants à cette intervention historique de l'Etat rechignaient à signer "un chèque en blanc au Trésor". "On est tout bonnement en train de sacrer le roi Henry", s'est exclamé un représentant républicain John Culberson, au sujet du secrétaire au Trésor.
Le vote de la Chambre est survenu alors que la quatrième banque du pays, Wachovia, a été rayée de la carte lundi sur intervention de l'administration Bush, qui a organisé son rachat par sa concurrente Citigroup.
Wachovia est la cinquième institution financière américaine acculée à la faillite ou au rachat en l'espace de deux semaines, après Lehman Brothers, Merrill Lynch, AIG et Washington Mutual.
Henry Paulson a défendu l'organisation par les autorités fédérales du rachat de Wachovia, en soulignant que la faillite de cet établissement aurait présenté un risque pour le système financier: Wachovia détenait à la fin juin pour 812 milliards de dollars d'actifs, pour l'essentiel sous forme de prêts.
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